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120 secrétaires généraux et chefs de Collectivités Locales ont participé aux ateliers portants sur différant sujets : l’amélioration de l’organisation communale, le rapport entre commune et citoyen, le rôle de l’administration dans le contrôle et suivi des services publics, assurer l’appui et l’assistance aux communes.

Lors du mot d’ouverture, Mr. Ourzik, Gouverneur et directeur des affaires juridiques, a souligné l’importance de la gestion communale qui joue un rôle déterminant dans la qualité des services communaux. Toutefois, même si les citoyens exigent de leur part l’amélioration de la qualité des services dans les communes, ceci demande une coopération entre l’administration centrale (DGCL) et l’administration communale.

Au niveau des communes on constate qu’elles manquent d’organisation, de ressources humaines et financières, ce qui les empêche d’accomplir leur rôle, et par conséquent les rendes dépendantes de l’état.

De nouveaux dispositifs vont permettre aux communes d’acquérir des mécanismes de gestion plus élaborés, dont la gestion déléguée et la mise en place des comités de suivi. Le but de ses dispositifs est de garantir une autonomie en conception des outils de gestion et d’octroyer 20% de la commande publique aux PME. De plus, ces entreprises seront obligées de recruter 10% du personnel local au lieu de faire appel à des compétences d’autres communes.

De sa part, Dr. Hassan Arafi a présenté un diagnostic détaillé pour une meilleure gestion dans les communes. Ce diagnostic se réfère aux éléments indispensables pour une gestion réussie :

Organigramme précis, définir les besoins et les compétences requises, amélioration des procédures administratifs et enfin adopter un système de gestion qui permet de faciliter le suivi et de contrôler la qualité des prestations des communes.