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Le but du colloque annuel était de mettre en exergue l'importance de la promotion des « richesses humaines » (RH) pour tout développement économique et sociale. Le colloque a focalisé sur la transformation du management RH en vue des transformations sociales et du processus de la mondialisation.

Des experts internationaux en RH, des entrepreneurs privés et publiques et des associations professionnelles ont participés au événement, tandis que la plupart des intervenants est venu du Maroc, d’Afrique de l’Ouest et de la région MENA.

Pour rester compétitif sur les marchés globaux, le Maroc doit adapter son system d’éducation et de formation au niveau mondial. Les RH représentent pour le Maroc comme un pays plutôt pauvre en matières premières une ressource particulièrement importante pour le développement durable. Selon Pieter Haen de la « World Federation of People Management Association » (WFPMA), c’est un problème pour presque tous les pays en voie du développement. Ceux-ci ont un fort potentiel de croissance, qui peut s’atténuer par le manque d’employés qualifiés. C’est donc nécessaire d’identifier les secteurs qui croîtraient et assurer d’y mettre le personnel qualifié disponible.

Les entreprises privés et publiques marocaines peuvent jouer le rôle des acteurs de modernisation et démocratisation par coordonner avec le secteur de formation ainsi que éducation, par prendre responsabilité pour le développement humain et en établant des normes sociales pour la gestion des entreprises et du personnel, la diversité ainsi que l’égalité des chances.

Rokia Goudrar, DRH à Lydec, a pointé le potentiel de RH d’éviter des conflits sociaux. Il faut communiquer et harmoniser avec les employés pour identifier des conflits potentiels assez tôt que possible. Ensuite, on peut prendre des mesures pour diminuer ou, mieux encore, solutionner les problèmes. En cas que des conflits apparaissent cependant, le domaine HR faut avoir des connaissances en médiation pour les résoudre.

Au-delà, plusieurs intervenants ont abordés la perspective de l’environnement des entreprises. Selon le Secrétaire Général de l’Union Marocaine du Travail (UMT), Miloudi el Moukharik, les syndicats peut mouvoir les entreprises aux transformations par des demandes pour une augmentation salariale ou pour le respect de droit du travail. En même temps, il a souligné qu’il a représenté des demandes justifiable au lieu de excessive pour améliorer la situation des employés sans compromettre l’économie nationale. En plus, son syndicat préfère la communication et le dialogue social entre des partenaires équivalents pour atteindre ces objectifs, tant que tous les partenaires se respectent et démontrant leur volonté pour achever un compromis.

Omar Benbada du bureau de consultants IDEAD a même constaté une influence positive du travail syndical pour la performance des entreprises. Selon Benbada, il y a de pression sociale positive et négative. Tandis que la dernier est conflictuel et pernicieux, la première émane des intéresses légitimes de l’environnement d’entreprise, par exemple si l’UMT dénonce l’ignorance de la code du travail par des employeurs. Ça rencontrait la compréhension des employés au sein de l’entreprise, qui demanderaient le respect et la validation de leur travail. Le domaine RH peut concilier la pression sociale de l’intérieur ainsi que de l’extérieur, ce qui faciliterait les entreprises de créer des profits alors que la société en somme peut se développer.

Le HR s’occupe avec la gestion et le développement des employés, qui sont au cœur de chaque entreprise. Le HR a donc non seulement une grande responsabilité, mais il offre aussi un grand potentiel aux firmes. Mis au point avec la correcte stratégie, le domaine RH peut contribuer aux profits entrepreneurials et parallèlement au développement sociétal.