Le coût de la non-démocratie au Maghreb depuis nos indépendances - Bureau de la Fondation en Tunisie
Conférence spécialisée
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Depuis nos indépendances, l’intégration économique, sociale, politique et culturelle avait été l’ambition de toute une génération de militants. Les dictatures ont empêché la participation populaire qui était symbolique voire faible et la marginalisation des opposants et surtout des nouvelles générations, a fait perdre à nos pays des potentialités énormes.
Peut-on parler de démocratie au Maghreb? Quelles sont les causes du retard ou de l’absence de cette démocratie ?Le coût de la non-démocratie est fort élevé depuis nos indépendances politiques où le Maghreb n’a cessé de perdre des atouts considérables pour se développer.
C’est dans ce cadre que la Konrad-Adenauer-Stiftung et la Fondation Temimi aborderont de sujet dans le cadre du 46ème Congrès du forum de la Pensée contemporaine organisé les 26 et 27 novemvbre 2015 à Tunis sur le thème : "Le coût de la non démocratie au Maghreb depuis nos indépendances".
Peut-on affirmer que les expériences démocratiques depuis les indépendances ont eu des coûts multiples tel que le l’aspect sécuritaire(terrorisme) ou encore l’aspect financier ou social ?
Quelle stratégie peut-on envisager pour encourager une démocratisation des institutions dans le futur ?
Partageront ces questionnements plusieurs spécialistes tunisiens et des experts en la matière venant aussi du Maghreb.