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Association Algérienne des Ressources Humaines

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L’Association Algérienne des Ressources Humaines, ALGRH, est née en 1991, à l’initiative de DRH soucieux de réunir leurs efforts et d’exploiter leurs expériences et expertises, pour développer leur fonction et l’installer durablement au cœur des préoccupations managériales. Pour situer ses ambitions il suffit de rappeler les missions principales prévues dans ses statuts :

L’Association poursuit l’objectif d’initier, organiser et soutenir toutes les activités, actions, mesures, et études qui visent l’objectif ultime de valoriser les ressources humaines afin de les adapter aux besoins actuels et prévisionnels de l’économie et de la société. Cette recherche qui se cantonne dans les limites du management des hommes et des organisations se préoccupe de :

Promouvoir les fonctions formation et gestion des ressources humaines par le perfectionnement des hommes et des systèmes de management, mettre en place des espaces d’échanges et de partage d’expériences et initier toutes activités destinées à la diffusion des savoirs, organiser et encourager toute étude et enquête relatives à la gestion des personnels et offrir des supports de diffusion de leurs résultats, parrainer les recherches et travaux universitaires et les nourrir en documentation et conseils, intervenir en qualité de force de proposition sur les problèmes socioéconomiques en débat, participer, à la promotion d’un dialogue social serein et constructif, favoriser l’intégration maghrébine, africaine et méditerranéenne et prendre part aux travaux de l’association mondiale des Ressources Humaines.

L’ALGRH a fêté en 2021 trente années d’une existence constellée de moments forts : Journées Africaines des RH, Conventions, universités d’été, colloques séminaires, conférences débat, journées d’études, expertises, enquêtes, publications, cafés RH….et de périodes moins productives en raison de difficultés exogènes dont la pandémie de la covid19 n’est pas la moindre. L’ALGRH qui est animée par un bureau composé de dix membres, élus parmi les hommes de l’art, est membre de trois organisations internationales spécialisées : La Fédérations Méditerranéenne des Ressources Humaines, FMRH, l’AFDIP, dont ALGRH assure la vice-présidence, qui regroupe de nombreuses associations RH des pays francophones de l’Afrique de l’Ouest, la Confédération Africaines des ressources humaines, CARH, qui assure la représentation de l’Afrique auprès de la WFPMA, association mondiale des RH.

Le partenariat de l’ALGRH avec la Fondation Konrad Adenauer a débuté en 2015 et est axé essentiellement sur la participation, à la promotion d’un dialogue social serein et constructif, la promotion de l’économie sociale de marché, à la favorisation de l’intégration maghrébine, africaine et méditerranéenne et le débat et analyse des problèmes socioéconomiques et proposition de solutions.

ASPEWIT « Association pour la Sauvegarde et la promotion de l'Environnement de la Wilaya de Tlemcen »

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L’A.S.P.E.WI.T est née du désir profond de bon nombre de citoyens, de s’opposer à la dévastation systématique de ce qui constitue le joyau de la wilaya de Tlemcen. Elle est née (L'ASPEWIT) aussi de la volonté de tout faire, malgré le caractère limité de moyens mis à sa disposition, pour s'élever contre une politique d'urbanisation sauvage dont les effets néfastes ne sont plus hélas à démontrer.

Un groupe de réflexion composé d'hommes de savoir venus d'horizons divers, fut alors créé. Au terme de réunion aussi passionnées qu'enrichissantes, tenues lors du mois de Ramadhan 1977, la première Association de défense de l'environnement fut alors constituée.

Une disposition particulière relative à l'environnement dans la constitution et stipulant que celui-ci est l'affaire de tous les citoyens, a servi d'ancrage juridique pour le démarrage légal de l'association qui fut agréée le 17 Septembre 1979.

Sa mission est la sensibilisation, vulgarisation, coordination entre les différents services concernés par l’environnement et assurer une courroie de transmission entre les pouvoirs publics et la société civile.

L’association organise également des compagnes de sensibilisation, reboisement, journée sans voiture « 1/an », ainsi que des séances de projection débat ouvert au grand public.

Ses objectifs de l’association sont : La préservation de la biodiversité, la lutte contre les changements climatiques, la sauvegarde du patrimoine matériel et immatériel, la lutte contre la désertification, la protection de la faune et la flore.

La collaboration de l’ASPEWIT et de la Fondation Konrad Adenauer a débuté en 2010 et est axée autour de la promotion de la protection de l’environnement, à la sensibilisation à la lutte contre les changements climatiques mais surtout à la formation et au renforcement des capacités des cadres associatifs et de la société civile en générale à travers le cycle de formations que les deux partenaires offrent.

C.I.D.E « Centre d’information et de documentation environnementale »

En 2005, le centre d’information et de documentation environnementale « C.I.D.E » a été créé grâce au projet ONG1 de l’union européenne dont a bénéficié l’association ASPEWIT. Le CIDE a par la suite été agréé par la commission Européenne en Algérie dans le cadre du programme d’appui aux associations Algériennes de développement.

Ses objectifs sont la récolte de l'information environnementale auprès des services concernés, le renforcement des capacités des cadres associatifs et la société civile en générale ainsi que celle des élus locaux, à travers les formations qu’offre le centre, la publication des bulletins d’information sur l’actualité environnementale locale, nationale et internationale et le montage de projets sur le développement durable.

Tout comme pour l'ASPEWIT la collaboration du CIDE et de la Fondation Konrad Adenauer qui a commencé en 2010 également est axée autour de la promotion de la protection de l’environnement, à la sensibilisation à la lutte contre les changements climatiques mais surtout à la formation et au renforcement des capacités des cadres associatifs et de la société civile en générale à travers le cycle de formations que les deux partenaires offrent.

L’association des femmes journalistes du constantinois (AJC)

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C’est la première expérience menée en Algérie, celle d’une association féminine qui regroupe des journalistes de la presse écrite et de l’audiovisuel de la région Est du pays. Lancée le dernier jour de l’année 2013, les femmes journalistes avaient créé l’événement en annonçant la naissance de l’AJC dénommée également « Sada el i’alamiyate » (écho des journalistes femmes).

L’association veut s’inscrire dans un cadre organisationnel en vue de valoriser l’image des femmes journalistes, promouvoir son rôle dans la presse et œuvrer pour une présence significative des femmes dans les différents secteurs médiatiques.

L’AJC s’est lancée depuis, dans son programme avec beaucoup de rigueur car ses adhérentes ambitionnent d’apporter un plus à la profession et constituer une force de proposition incontournable garce à son plan d’action mis en place avec comme fil conducteur formation, développement, information et échange d’expériences. Un programme ambitieux et riche qui n’a pu être concrétisé sans un partenaire de taille et de qualité qui est la Fondation Konrad- Adenauer.

AGORA

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L’association Agora pour la formation et l'appui aux initiatives des jeunes a été créée en mai 2014 à Bejaïa par des universitaires et acteurs associatifs partageant la même volonté de promouvoir un développement durable et solidaire dans la Wilaya de Bejaïa. Agora espère créer des espaces d’échanges et de discussions pour les jeunes afin qu’ils puissent s’impliquer davantage dans la promotion et la défense de la citoyenneté et de la démocratie en Algérie. L’association vise également à encourager la participation des jeunes et des femmes à l’élaboration des politiques publiques, spécialement au niveau local et régional.

Ses objectifs sont : soutenir et former les jeunes et les associations locales travaillant sur l’amélioration de la situation des jeunes ; améliorer et enrichir le travail associatif à travers l'échange et le partage des expériences et des bonnes pratiques ; mettre en place un partenariat avec les acteurs locaux, nationaux et internationaux et développer le réseautage associatif ; encourager les activités de développement visant à promouvoir la diversité culturelle à Bejaïa ; promouvoir la participation effective des femmes dans le travail associatif au niveau local, régional et national et développer les échanges culturels.

Agora, consciente des mutations que vit le mouvement associatif aujourd’hui en Algérie, vise à inclure les jeunes dans cette nouvelle dynamique notamment dans les activités de développement local. L’association récemment créée a mis en place ou participé en 2015 à plusieurs activités locales, nationales et internationales, dont : la plateforme électronique « Irada- dz.org » ; projet de formation « les ambassadeurs de Bejaia » ; institution du conseil de la jeunesse « APW Jeunesse » en collaboration avec l’Assemblée populaire de la wilaya de Bejaia ; la participation au Forum Social Mondial à Tunis avec une délégation d'une quarantaine de jeunes, représentant 18 associations autonomes de la Wilaya de Bejaia ; l'organisation d'une université d'été qui a regroupé près de 150 jeunes représentant 55 associations des Wilayas d’Oran, Constantine, Tizi Ouzou, Annaba, Alger, Boumerdes et Bejaïa, ainsi que des Algériens établis en Belgique et au Pays-Bas et l’organisation de plusieurs formations pour les associations locales et animation des rencontres publiques à Bejaïa.

Ajoutant à cela, l’association est impliquée dans plusieurs dynamiques internationales travaillant sur les questions jeunesse et droits de l’homme. Elle a pris part au Forum Mondial de la démocratie à Strasbourg en 2012 et 2013, Forum Social Mondial à Tunis en 2013 et 2015, le Forum Social Magrébin à Tunis en 2012 et 2014, Forum UE-ONG pour la société civile à Bruxelles en 2015, la COY11 (11éme conférence internationale des jeunes pour le climat) à Paris en 2015, GMF ( Global Media Forum ) Bonn 2016, Safirlab (programme « accélérateur » d’innovation sociale) 2016.

Agora et la Fondation Konrad Adenauer travaillent depuis 2015 en étroite collaboration dans la formation et l’accompagnement des jeunes motivées par les questions de la société et de la démocratie dans le renforcement de leurs compétences et de leur leadership collectif et individuel et dans la concrétisation de leurs objectifs associatifs, professionnels, sociaux et politiques. AGORA et KAS œuvrent également à promouvoir la participation effective des femmes dans la vie associative économique et politique et créer une force de proposition en faveur de leurs droits et convictions.

FONDATION pour l’ÉGALITE

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La Fondation pour l’égalité a été créée en 2015. Elle a intégré le Centre d’Information et de Documentation sur les Droits des Enfants et des Femmes (CIDDEF), lui-même créé en 2002 à l’initiative de Me Nadia Ait-Zai.

Ses objectifs sont : amélioration de la situation des enfants et des femmes ; faire progresser les mentalités algériennes sur les questions de la femme et de l’enfant ; lutter contre la discrimination ; plaidoyer pour la modification des lois discriminatoires ; fournir une assistance psychologique et juridique à des femmes et des enfants en détresse ; réalisation d’études et de recherches dans le domaine des droits de l’enfant et de la femme ; le Centre dispose de plus de 6000 ouvrages qui traitent des droits de l’enfant et de la femme qui sont mis à la disposition des chercheurs et des étudiants ; promotion des droits de l’enfant à travers des plaidoyers adressés aux institutions publiques ; Information et vulgarisation des droits de l’enfant et de la femme et cela à travers la réalisation de guides, la publication d’une revue trimestrielle et l’organisation de journées d’information et de campagnes de sensibilisation.

La Fondation pour l’égalité et la KAS croisent depuis 2017 leurs efforts pour la mise en œuvre d’une meilleure pratique de la citoyenneté de la femme et une émancipation effective de la femme, à sensibiliser à l’intégration de la dimension genre dans les projets de politique publique et à Promouvoir la participation des femmes citoyennes dans les processus de démocratisation.
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Laboratoire Religion et société

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Le laboratoire Religion et société est affilié à la direction Générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique. Il est basé à l'Université Alger- 2 - Fondée en 2011 et agrée en avril 2012. Son premier directeur est le professeur Arous Zoubir.

Le laboratoire se consacre à la recherche sociologique dans sa relation avec le phénomène religieux et culturel. Il comporte sept équipes de recherche.

Les thématiques auxquelles s’intéresse le laboratoire sont celles qui attraient à la religion ou au phénomène religieux dans ses relations avec la société, le phénomène religieux dans ses relations avec l’individu, au phénomène religieux à travers l'histoire dans la société algérienne, au phénomène religieux et culturel dans ses relations avec la femme, à la psychologie de l’individu et aux études relatives au genre. Ces différents thèmes sont étudiés par des équipes affiliées au laboratoire Religion et société qui sont aujourd’hui au nombre de sept équipes de recherches.

Le laboratoire édite en partenariat avec la Fondation Konrad Adenauer une revue répertoriée internationale semestrielle, intitulée - Questions et visions – La revue comporte des études sociologiques, religieuses et culturelles. Elle regroupe des articles dans les deux langues, arabe et français de chercheurs, sociologues, philosophes internationaux mais aussi d’autres de différents domaines et disciplines. Elle aborde les questionnements, visions, regards et challenges de la société.

Actuellement, le laboratoire aspire à promouvoir ses recherches et à les développer pour continuer à produire des résultats qui profiteraient à la recherche scientifique.

Le laboratoire organise des activités académiques périodiques car convaincu que la recherche est indispensable pour la compréhension de la société, pour se rendre compte de la subtilité et la complexité de l’ordre social et pour le progrès dans toute sa forme. De ce fait, il est également convaincu que le travail académique doit être porté à la société.

Le laboratoire cherche toujours à établir des relations avec la société civile ainsi qu’avec d’autres organisations universitaires.

CREAD « Centre de Recherche en Economie Appliquée pour le Développement »

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Le Cread (Centre de Recherche en Economie Appliquée pour le Développement) est un établissement public à caractère scientifique et technologique (EPST) depuis 2003 (décret exécutif n°03-455 du 1er décembre 2003 modifiant et complétant le décret n°85-307 du 17 décembre 1985 portant création du centre de recherche en économie appliquée pour le développement), placé sous la tutelle du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (MESRS) et à vocation intersectorielle.

Le Cread est créé au mois de décembre 1985 (le Décret n°85-307 du 17 décembre 1985 portant sur la création du Centre de recherche en économie appliquée pour le développement).

Depuis la création du Cread, ses activités de recherche portent principalement sur l’économie de développement, l’économie sociale et du travail, l’économie de l’éducation, l’économie des ressources naturelles et de l’environnement, l’économie de l’entreprise et son organisation, l’agroéconomie et l’économie rurale, l’économie internationale et commerce extérieur, etc. Toutes ces préoccupations de recherche ont toujours été des thématiques investies par les chercheurs du Cread à travers des projets de recherche et des études d’expertise.

Le Cread conçoit et réalise des projets de recherche avec des partenaires socioéconomiques et des établissements scientifiques nationaux et internationaux. Il conçoit et réalise des enquêtes ponctuelles sur des échantillons de populations, d’institutions et de professionnels de l’économie, pour collecter des données et des informations statistiques sur l’ensemble des phénomènes économiques et socioéconomiques. Des accords de partenariat et des conventions lui permettent également d’exploiter les données d’enquêtes sur panels ou des échantillons réalisés par d’autres organismes nationaux et internationaux, publics ou privés.

Le Cread effectue des prestations d’études et de recherches pour le compte des institutions et des établissements, publics ou privés, nationaux ou étrangers en s’appuyant sur les expertises internes et externes. Ces études exploitent des thématiques et des problématiques variées, relatives aux diverses structures économiques et socioéconomiques.

Les missions confiées au CREAD, définies dans le décret de création de 1985, sont directement liées à son domaine d'expertise qui est l'économie et la socio-économie du développement. Il s'agit notamment : mener des recherches théoriques et appliquées sur le développement économique ; étudier les conditions économiques et sociales nécessaires au renforcement de l’intégration intersectorielle, de la création et de la maîtrise technologiques et d’une gestion efficace aux niveaux macro et microéconomiques ; effectuer des recherches en matière d’économie du travail, de l’éducation, de la formation, de la santé et de l’habitat ; étudier les systèmes de gestion monétaires et financiers au niveau national et international.

Outre ces missions citées ci-dessus, le centre est appelé à assurer les missions fixées à l’article 5 du décret exécutif n°99-256 du 16 novembre 1999, entre autres : assurer une veille scientifique et technologique en rapport avec son sujet ; rassembler et traiter l’information scientifique et technique et en assurer la conversation et la diffusion ; contribuer à la valorisation des résultats de la recherche scientifique en veillant notamment à leur diffusion, à leur exploitation et à leur utilisation ; assurer la formation continue, le recyclage et le perfectionnement des personnels de la recherche ; contribuer à la formation par et pour la recherche ; assurer la coordination, le suivi et l’évaluation des unités, des laboratoires et des équipes de recherche ; réaliser les programmes de recherche scientifique et de développement technologique dans le domaine de l’économie appliquée au développement ; réunir les éléments nécessaires à l’identification des projets de recherche à entreprendre ainsi que les données permettant leur programmation, leur exécution et leur évaluation.
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Injaz El Djazair

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Injaz El Djazair est une fraction d’INJAZ El Arab, une organisation affiliée à Junior Achievement WorldWide www.ja.org qui soutient les jeunes dans les 15 pays du MENA -Middle East and North Africa- avec des programmes de promotion de entrepreneuriat.

Injaz El Arab a créé un partenariat avec le secteur privé en faisant participer plus de 200 hommes d'affaires influents a notre mission afin de s'assurer que les jeunes étudiants aient les compétences nécessaires pour entrer dans le monde du travail. INJAZ El Arab apporte son soutien a plus de 200 000 jeunes chaque année dans le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord.

INJAZ El Djazair, a entamé ses travaux en Algérie en Octobre 2010 sous l’égide du club CARE - Cercle d’Action et de Réflexion autour de l’Entreprise.

Injaz El Djazair et KAS s’unissent dans l’inspiration et le renforcement des compétences des jeunes algériens en matière d’entreprenariat et à la préparation de ces jeunes face aux défis rencontrés au début de leurs carrières professionnelles et à développer les Soft Skills nécessaires afin de démarrer et maintenir une entreprise sur la bonne voie.
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SDH

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Depuis sa création en 1991 dans le quartier de Sidi El Houari d’Oran, l’association SDH s’est investie dans la formation professionnelle, essentiellement auprès des jeunes en situation de vulnérabilité. En 2001, pour répondre à un besoin de main d’œuvre qualifiée dans le secteur du bâtiment, notamment du bâti ancien, et avec le soutien de l’association française « Le Club Marpen » spécialisée dans la réhabilitation et la promotion du patrimoine historique, l’association SDH a créé un chantier d’insertion avec pour ambition de faire reculer le chômage endémique des jeunes de Sidi El Houari et de faire avancer leur intégration sociale et professionnelle.

Des centaines de jeunes sont ainsi passés par l’Ecole chantier agréée en 2011. En plus de la formation professionnelle, ils ont été formés aux valeurs de la citoyenneté et préparés à leur intégration dans la vie active. Chaque année, l’association reçoit de nouvelles demandes de jeunes souhaitant acquérir un savoir-faire, véritable levier pour intégrer le marché de l’emploi, et ainsi venir en aide à leurs familles, vivant souvent dans la précarité.

A partir de 2010, l’association s’est ouverte résolument au marché du travail, d’une part, en sollicitant et en impliquant les structures chargées de l’emploi des jeunes dans le placement des stagiaires, et d’autre part, en organisant, à la demande de la Chambre d’Artisanat et des Métiers d’Oran ou d’entreprises du bâtiment, des cycles de formation à l’intention des artisans. L’important programme de réhabilitation lancé par les pouvoirs publics visant 800 immeubles dans la wilaya d’Oran et la décision portant classement du quartier de Sidi El Ouari d’Oran a offert, en effet, de réelles opportunités aux artisans possédant une qualification avérée.

Le site de l’association est par ailleurs le siège d’activités culturelles, citoyennes ou d’intérêt public. Des centaines de jeunes, dont de nombreux étudiants d’Oran et de plusieurs autres wilayas (à travers les chantiers organisés en été et au printemps), participent à ces actions comme bénéficiaires mais aussi comme organisateurs.

L’objectif principal de l’association est L’amélioration de l’employabilité des jeunes par la formation professionnelle et l’éducation citoyenne en vue de leur insertion sociale et économique.
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AIIDH « Association d’investissement et de don humain »

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L'association d'investissement et du don humain est une association wilayale de Tlemcen, fondée en 2016 et agréée en 2017. Elle œuvre dans le domaine socioéducatif.

Son objectif principal est de Promouvoir la citoyenneté active. Elle aspire également à contribuer à la promotion de la société et l'amélioration de la qualité de vie ; concourir à la formation et l'éducation des générations jeunes ; représenter une force de proposition ; un acteur de changement et de développement ; apporter un accompagnement éducatif, social et professionnel pour le citoyen ; mobiliser, s’organiser, se former et intervenir pour une citoyenneté plus active ; coopérer avec les instances nationales et les donneurs d’ordre pour faire de l’association un axe stratégique dans le développement de la société.

Ses programmes de développement sont menés en accord avec les valeurs de l’association, elles guident ses actions au quotidien. L’association AIIDH prend appui sur les valeurs de solidarité, d’humanisme, de démocratie, et de transparence. Elle affirme et soutient le respect de la dignité et de l’intégrité de la personne humaine.

Les jeunes représentent 90% des membres de l'association, dont aussi 54% des femmes. L'association compte aussi des salariés temporaires qui occupent des postes de gestion des projets. La réalisation des activités et des projets de l’association ne serait tout simplement pas possible sans l'engagement de ces nombreux passionnés.

AHK « La Chambre Algéro-Allemande de Commerce et d'Industrie »

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La Chambre Algéro-Allemande de Commerce et d'Industrie fondée en 2005 est le représentant officiel de l'économie allemande en Algérie pour la promotion des relations économiques. Elle est placée sous la tutelle du Ministère Fédéral de l'Économie et de l’énergie.

L'AHK Algérie constitue un lien entre des entreprises allemandes, européennes et algériennes, ainsi que la coopération au développement.

Le but de la Chambre Algéro-Allemande de Commerce et d’Industrie est de promouvoir les relations bilatérales entre l’Algérie et l’Allemagne.

La Chambre Algéro-Allemande de Commerce et d’Industrie, avec un réseau de plus de 400 entreprises allemandes et algériennes est le lien le plus important pour les relations commerciales germano-algériennes.

Il existe une coopération étroite entre les AHKs et les chambres de commerce et d’industrie (IHKs) en Allemagne. Ensemble, les AHKs et les IHKs soutiennent les entreprises allemandes dans leurs efforts de développer et renforcer leurs relations économiques avec l’étranger.

L’association des chambres de commerce et d’industrie allemandes (DIHK) est l’organisme de tutelle des IHKs. Elle est également en charge de la coordination et de l’entretien du réseau des AHKs. En outre, la coopération étroite avec les associations économiques allemandes fait en sorte que les AHKs disposent d’un excellent réseau entrepreneurial et commercial. Les AHK combinent trois fonctions majeures : Représentants officiels de l'économie allemande, Organisation d'adhésion, offres de services pour les entreprises.
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