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Ce séminaire qui a réuni des experts en la matière, s’inscrit dans un programme de formations et débats équitablement répartis sur toutes les wilayas du pays pour créer une dynamique chez les acteurs locaux.

A travers des panels riches d’interventions de spécialités diverses, des économistes, des sociologues, des politiciens et des historiens, face à des acteurs économiques, se sont interrogés sur l’histoire et le développement de l’entreprise algérienne, les leviers de développement du secteur de l’emploi et les promesses de croissance face aux défis internationaux.

Ce séminaire, qui a mis en exergue des problèmes d’actualité, a fait émerger de vrais débats sur l’avenir économique, les intérêts des jeunes et leurs attentes, la position de l’université dans la création des compétences, les modes d’évaluation de l’efficience et les échelles de valeur.

Revenant sur la question de l’avenir de la participation du secteur privé dans le développement, le constat est unanime partout. L’ensemble des participants au séminaire ont souligné que le secteur privé est source du développement économique. Selon eux, il est impératif de renforcer le secteur privé qui doit participer au développement du pays, cibler la conquête des marchés régionaux et marquer sa présence dans ces marchés émergeants afin d’aboutir à une économie solide et diversifiée. Les opportunités n’en sont pas des moindres pour l’Algérie.

La possibilité de remettre l’économie en marche nécessite de faire confiance à ce secteur qui est encore considéré comme non-primordial, de lui permettre de faire valoir ses efforts au même titre que le secteur public en libérant les initiatives, en réduisant les contraintes et en uniformisant les lois qui régissent l’économie. C’est seulement ainsi qu’un partenariat privé-public pourra s’inscrire dans un rapport gagnant-gagnant.