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Ce symposium a remis la question de l’intégration maghrébine sur la table des débats.

Des personnalités tunisiennes et maghrébines ainsi que des représentants du secteur privé ont été invité. Ils croient tous au potentiel économique d’un Maghreb uni et au rôle primordial des jeunes dirigeants d’entreprises dans l’édification de cette intégration, désormais, indispensable.

Le symposium a été inauguré par M. Abdelhafidh Hergem, secrétaire d’Etat auprès du Ministre des Affaires Etrangères, chargé des affaires maghrébines-

Il a confirmé que l’intégration économique du Maghreb ne pourrait se concrétiser qu’ travers le secteur privé. Le politique piétine, c’est l’entreprise et l’innovation qui seraient le relais principal.

Par ailleurs, Mme Monia Essaidi, présidente du CJD a indiqué que les jeunes du Maghreb partagent les mêmes préoccupations, les mêmes ambitions à savoir l’ambition d’un Maghreb intégré qui soit un pôle économique de taille dans la mondialisation. Un Maghreb qui ne manque pas de potentiel économique.

Au cours de ce symposium Maghrébin, les experts ont débattu des projets fédérateurs pour le Maghreb, des projets qui existent et il suffit de s’y mettre. Il s’agit notamment de projets de l’eau, de l’énergie et de l’environnement ainsi que l’environnement des affaires dans les cinq pays du Maghreb.

Ils ont mis en exergue également l’importance de la compétitivité par le biais du réseautage euromaghrébin.