L’Etat algérien a investi depuis l’indépendance dans l’éducation, la santé, le travail et autres domaines. Ses politiques publiques ne font pas de différence entre les hommes et les femmes, la parité est atteinte en matière de scolarisation des enfants, les filles sont plus nombreuses à l’université mais sont peu nombreuses sur le marché du travail ; et ce n’est pourtant pas un manque de moyens mis par l’Etat algérien. Qu’est ce qui empêche cette libération ? Est-ce la mentalité, est-ce la tradition, est-ce le conservatisme, est-ce la violence exercée sur les femmes, est-ce le manque de protection des femmes ? Autant de questions auxquelles, les conférenciers ont essayé de répondre, lors de cette rencontre, qui s’est achevée avec des souhaits de femmes et des recommandations.