Organisé conjoitement par la commune de Martil, la fondation Adenauer, bureau de Rabat, L'observatoire Régional de la Gouverance Territoriale (ORGT), Engagement Global et IDI, la commune de Martil a abrité le 12 octobre un échange d'expérience avec la commune de Potsdam en Allemagne.

Cet échange s'est distingué par la haute participation des autorités administratives locales, des personnalités politiques, des décideurs publics et des acteurs.trices de la société civile au niveaux local et régional.

Dans son mot d’ouverture, le pacha de la ville de Martil, Mourad Doudouch, a affirmé que le projet de la digitalisation de l’administration a pour objectif de diminuer les distances entre les différentes zones géographiques. Après avoir salué  l’initiative du bureau citoyen et aspiré à ce qu’elle soit appliquée dans les différentes zones géographiques, Mourad Doudouch a estimé que la société civile doit relever deux défis majeurs sur lesquels reposent le bureau citoyen à savoir la force de proposition et des compétences avancées en communication.

De sa part, le représentant de la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima s’est exprimé sur la nature du monde actuel qui regorge de conflits à tous les niveaux à savoir: développement, géopolitique, changements climatiques et pandémies. Les transformations d’ordre universel, poursuit-il, exigent une réinterprétation de la notion de la citoyenneté.

Après avoir salué l’engagement et l'implication croissante des citoyens au Maroc en général et au niveau de la région TTA en particulier, le représentant de la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima a rappelé le rôle des changements et des réformes qu’a connu le Maroc depuis 2011 dans l’inauguration, d’abord, et le progrès, ensuite, du chantier de la digitalisation.

En ce qui concerne l’expérience de la région TTA relative à l'exercice de la démocratie participative, la région a reçu deux pétitions, a signalé le représentant de la région, axées sur les changements climatiques, ce qui traduit les préoccupations des élites, a t-il interprété.

Après avoir présenté la fondation Adenauer et sa mission au Maroc et en Mauritanie et rétiré sa fierté du progrès assuré par le projet du bureau citoyen, le Représentant résident de la fondation, Steffen Krueger, a salué l’esprit de l’ouverture et du partage des communes de la région TTA et a affirmé que l’Allemagne peut très bien apprendre des expériences du Maroc et vice versa.

L'observatoire régional de la gouvernance territoriale, partenaire du projet Bureau Citoyen, a déclaré que le bureau citoyen ne cesse pas de prendre forme dans plusieurs initiatives citoyennes. En effet, devant le défi qu'affronte l’administration de ne pas pouvoir répondre à tous les typs de questionnements des citoyens, et devant le stress des fonctionnaires vis-à-vis de la surcharge informationnelle, le bureau citoyen s’impose comme un espace de médiation et de délégation pour faciliter les échanges entre la commune et les citoyens. Par ailleurs, l’esprit d’écoute et d’ouverture des autorités administratives ne fait que faciliter davantage la mise en marche des bureaux citoyens, a t-il expliqué.

Quant à la commune de Martil, elle a estimé qu’il est important d’aborder la démocratie participative avant d'étudier le progrès du bureau citoyen, cette dernière étant une valeur sûre consistant à impliquer les citoyens dans les différentes étapes de la prise de décision.

Dans son mot d'allocution, Laura-Marie Rothe, représentante de l'organisation Engagement Global, a exprimé sa fierté de reprendre ce format d'échange entre le Maroc et l'Allemagne qui se veut un pont d'amitié, de partage et d'apprentissage entre les deux pays. Elle a expliqué également la mission de son organisation consistant à acoompagner les communes dans le processus de l'ouverture et du traitement des problématiques d'actualité.

Dans son mot d’ouverture, le pacha de la ville de Martil, Mourad Doudouch, a affirmé que le projet de la digitalisation de l’administration a pour objectif de diminuer les distances entre les différentes zones géographiques. Après avoir salué  l’initiative du bureau citoyen et aspiré à ce qu’elle soit appliquée dans les différentes zones géographiques, Mourad Doudouch a estimé que la société civile doit relever deux défis majeurs sur lesquels reposent le bureau citoyen à savoir la force de proposition et des compétences avancées en communication. 

De sa part, le représentant de la région de Tanger Tétouan Al-Hoceima s’est exprimé sur la nature du monde actuel qui regorge de conflits à tous les niveaux à savoir: développement, géopolitique, changement climatiques climatiques, et des pandémies. Les transformations d’ordre universel, poursuit-il, exigent une réinterprétation de la notion de la citoyenneté. 

Après avoir salué l’engagement et l'implication croissante des citoyens au Maroc en général, et au niveau de la région TTA en particulier, le représentant de la région de Tanger Tétouan Al-Hoceima a rappelé le rôle des changements d’ordre social qu’à connu le Maroc en 2011 et qui ont abouti à la nouvelle Constitution dans l’inauguration d’abord et le progrès ensuite du chantier de la digitalisation.

En ce qui concerne l’expérience de la région TTA quant à l'exercice de la démocratie participative, elle a reçu deux pétitions, selon le représentant de la région, axées sur les changements climatiques et ça dit beaucoup sur les préoccupations des élites.

Après avoir représenté la fondation Adenauer et exprimé sa fierté du progrès assuré par le projet du bureau citoyen, le Représentant résident de la fondation Adenauer, Steffen Krueger, a salué l’esprit de l’ouverture et du partage des communes de la région TTA et appelé a affirmé que l’Allemagne peut très bien apprendre des expériences au Maroc et vice versa.

Marie Laure Rothe, représentante d'Engagement englobal a remercié la commune de Martil pour son accueil chaleureux ainsi que pour sa disposition à ouvrir un canal de dialogue entre l’expérience marocaine et l’expérience allemande.  

L'observatoire régional de la gouvernance territoriale, partenaire du projet Bureau Citoyen, a déclaré que le bureau citoyen ne cesse pas de prendre forme dans plusieurs initiatives citoyennes. En effet, devant le défi qu'affronte l’administration de ne pas pouvoir répondre à tous les typs de questionnements des citoyens, et devant le stress des fonctionnaires vis-à-vis de la surcharge informationnelle, le bureau citoyen s’impose comme un espace de médiation et de délégation pour faciliter les échanges entre la commune et les citoyens. Par ailleurs, l’esprit d’écoute et d’ouverture des autorités administratives ne fait que faciliter davantage la mise en marche des bureaux citoyens.

La commune de Martil estime qu’il est important d’aborder la démocratie participative avant de voir le progrès du bureau citoyen, étant une valeur sûre consistant à impliquer les citoyens dans les différentes étapes de la prise de décision. La participation citoyenne n’est une alternative de la démocratie participative mais complémentaire.