Agrégateur de contenus

Titre unique

Focus sur l'Afrique

Des nouvelles actuelles d’Afrique

Agrégateur de contenus

Partager

Côte d’Ivoire : le Camp de Gbagbo donne des conditions pour quitter l’hôtel du Golf

Le ministre des Affaires étrangères du gouvernement du président Gbagbo, Alcide Djédjé, a déclaré que, le camp de Gbagbo pourra lever le barrage sur son rival au présidentiel si les ex-rebelles protègent son départ. Il a ajouté que l'homme fort, Gbagbo, que la plupart du monde dit avoir perdu en Novembre le deuxième tour des élections présidentielles, mais a refusé de renoncer au pouvoir, n’ira pas en s'exile malgré les offres visant à mettre fin à la crise.

"C'est une question des soldats des Forces Nouvelles de quitter l'hôtel, qui est l’une de condition pour la levée du blocus", a ajouté M. Djédjé. Les Forces de Défense et Sécurité (FDS) de Mr. Gbagbo ont barré l’accès a l’Hôtel du Golf ou le vainqueur des élections reconnue par la communauté internationale, Alassane Ouatara, et son camp ont assiégés depuis peu après l’élection du 28 novembre.

L'hôtel a été sous la protection d’autour de 800 Casques bleus des Nations Unies ainsi que le groupe des ex-rebelles, les Forces Nouvelles (FN), alliée avec le camp de Mr. Ouattara depuis que les troupes ont abattu plusieurs de ses partisans alors qu'ils marchaient sur la télévision d'Etat le 16 décembre. Le chef de maintien de la paix de l'ONU, Alain Le Roy, a déclaré à New York qu'il allait chercher un renfort de 1.000 à 2.000 soldats pour soutenir l'actuel plus de 9.500 mission forte déjà sur le terrain.

Des officiers militaires Rwandais en exil s’attendent à des longues peines de prison

Le procureur militaire rwandais a déclaré que la poursuite réclame une peine de prison de 35 ans pour l’ex-chef de l'armée rwandaise en exil, le lieutenant-général Faustin Nyamwasa Kayumba, et trois autres personnes qui vivent aussi en exil. Ils sont accusé de six crimes en totale, y compris sur la sûreté de l'Etat, l’ atteinte à l'ordre public, la promotion de la division éthique et d’avoir insulté le président de la République. L'accusation a requis une peine de 30 ans pour quatre et cinq supplémentaires pour Nyamwasa et un collègue pour avoir déserté l'armée. Le procureur souhaite également que le duo soit soient renvoyer de l'armée. Les trois autres sont ,l’ancien directeur de renseignemenst militaire, Patrick Karegeya, l’ ancien directeur de cabinet, Théogène Rudasingw'a, un ancien envoyé aux États-Unis et l’ex-procureur général, Gerald Gahima.

La France extrade l’ancien rebelle Hutu

La Cour Suprême de France a enfin agit et a accepté l’ordonnance d'extradition du chef des rebelles rwandais Callixte Mbarushimana pour être juger à la Cour Pénale Internationale (CPI). L'avocat de M. Mbarushimana a déclaré que le tribunal avait rejeté l'appel de son client contre l'extradition. Il est accusé de 11 chefs crimes de guerre et crimes contre l'humanité, qui auraient été commis en République démocratique du Congo l'année dernière.

La CPI à La Haye, a déclaré qu'il existe des preuves atestant que M. Mbarushimana, qui a vécu en France comme réfugié politique depuis 2002, a contribué aux crimes en RD Congo selon les publications des médias locaux et internationaux du 6 Janvier 2011.

RD Congo propose une élection à un tour "pour réduire les coûts"

Le gouvernement de la République démocratique du Congo a proposé que les élections prévues en Novembre se tiennent à un tour afin de réduire les coûts et d’éviter toute tensions comme témoigné dans d'autres pays africains. Mais les principaux partis d'opposition ont rapidement rejeté la proposition, affirmant qu'elle pourrait porter atteinte à la légitimité du président élu."L'élection à deux tours comme celui que nous avons eu en 2006 n'est pas dans l'intérêt du peuple congolais sur le plan économique, politique et de sécurité de vue", a déclaré M. Lambert Mende, le porte-parole du gouvernement. Il a ajouté que, le fait d’avoir une élection à un tour, ce qui nécessiterait une révision partielle de la Constitution, réduirait de moitié les coûts à environ 350 millions de dollars. Il servirait également « à éviter le l’entrée du pays dans des guerres d'identité comme au Kenya, en Guinée et en Côte d'Ivoire". Les dernières élections présidentielles dans ces pays ont suscité des litiges mortels sur l'origine ethnique et l'identité, avec l’établissement d’une division nord-sud en Côte-d'Ivoire après les élections du deuxième tour en Novembre où les deux candidats prétendent être le gagnant. La Commission électorale indépendante a annoncé le premier tour des élections présidentielles et législatives en Novembre 27.

Le besoin des accords transparents sur le partage du petrole au Soudan

Le Soudan a besoin de plus de transparence sur ses revenus pétroliers pour aider à préserver la paix dans la région. L’organisation de campagne Global Witness a déclaré que les soupçons sur la façon dont les revenues ont été partagées ont considérablement aggravé la méfiance entre le Nord et le Sud. La plupart du pétrole soudanais provient des puits dans le Sud, mais l'infrastructure reste dans le Nord. L'accord de partage en cours entre les deux régions est à peu près à 50:50. Global Witness a dit que les deux cotés doivent s'entendre sur un accord plus transparent pour remplacer le système existant qui arrive à l’échéance à la fin du mois."La méfiance sur le partage des revenus a été l'une des principales raisons de retrait temporaire du Sud de l'arrangement de partage du pouvoir en 2007. Les preuves suggèrent que de telles préoccupations ne sont pas sans fondement ", affirme Global Witness.

La police Tanzanienne tue deux à Arusha lors d’une manifestation de Chadema

Le chef de la police tanzanienne, Tobias Andengenye, a déclaré que deux personnes ont été tuées lors de la répression d'une manifestation anti-gouvernementale à Arusha. Neuf personnes ont été blessées, dont trois policiers. Les troubles ont commencé après que le président du parti d'opposition, Chadema, Freeman Mbowe, a été arrêté avant un rassemblement contre la corruption du gouvernement. La police a tiré des gaz lacrymogènes pour disperser la foule de plusieurs milliers de personnes, qui réclamaient la libération de M. Mbowe . M. Andengenye a déclaré qu'un total de 49 dirigeants de Chadema ont été également arrêtés dans cette ville du Nord.

Agrégateur de contenus

comment-portlet

Agrégateur de contenus