Tous les participants se sont montrés très impressionnés par le documentaire qui le politologue Ingo Espenschied a présenté. La projection des photos historiques, animations graphiques, caricatures, interviews de témoins et reportages des actualités de l’époque ont permis un voyage dans le temps de l’après-guerre qui a été marqué par la réconciliation franco-allemande.

Mots de bienvenue de Nino Galetti et Christiane Deussen.

Les intervenant: le petit-fils de l’ancien chancelier Konrad Adenauer, l'historien Georges-Henri Soutou et le chercheur sur l’Allemagne, Henri Ménudier

Le public a posé beaucoup de questions.

Dans le cadre de la Journée Découverte franco-allemande que l’Office franco-allemande pour la Jeunesse organise chaque année, une quarantaine de collégiens et lycéens ont participé à la conférence. Lors du débat de clôture, un élève du Lycée François Premier s'est fait le porte voix de ses camarades de classe, invitant à s’engager davantage pour les relations franco-allemandes : l’acquis franco-allemand n’est pas immuable – il doit sans cesse être entretenu et enrichi.

Autour de 120 participants ont participé à la conférence.

Cette question et de nombreuses autres ont été discutées par le petit-fils de l’ancien chancelier Konrad Adenauer, l'historien Georges-Henri Soutou et le chercheur sur l’Allemagne, Henri Ménudier, dans le cadre de la conférence „Adenauer, De Gaulle et les relations franco-allemandes“ organisée le 18 janvier par la Fondation Konrad Adenauer et la Maison Heinrich Heine.

Tous les participants se sont montrés très impressionnés par le documentaire qui le politologue Ingo Espenschied a présenté. La projection des photos historiques, animations graphiques, caricatures, interviews de témoins et reportages des actualités de l’époque ont permis un voyage dans le temps de l’après-guerre qui a été marqué par la réconciliation franco-allemande.

Dans le cadre de la Journée Découverte franco-allemande que l’Office franco-allemande pour la Jeunesse organise chaque année, une quarantaine de collégiens et lycéens ont participé à la conférence. Lors du débat de clôture, un élève du Lycée François Premier s'est fait le porte voix de ses camarades de classe, invitant à s’engager davantage pour les relations franco-allemandes : l’acquis franco-allemand n’est pas immuable – il doit sans cesse être entretenu et enrichi.